MARRAKECH.
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HAREM , CONCUBINES et EUNUQUES...

Epouse et épouses

Selon la loi islamique (qui s'est longtemps aplliquée au Maroc) un homme pouvait avoir jusqu'à quatre épouses légitimes (auxquelles étaient reconnu des droits variables selon les contrées). A noter qu'à chaque nouveau mariage, l'homme devait recueillir l'accord des précédentes épouses... Sachant qu'il y a moultes moyens de pression dont la menace de répudiation. Il suffit à l'homme de prononcer trois fois "talak" (ou talaaq ou talek) pour divorcer.
Seuls les riches pouvaient jouir de ce privilège...


Les concubines du harem

En Orient, le terme harem a le sens large de "partie de l’habitation réservée à la famille". Le mot harem vient de l’arabe harim "lieu consacré inviolable".
Plus communément, on l'associe au lieu où résident le groupe de concubines. Avant que cette pratique soit diffusée par les Arabes, on en trouvait des formes de l'Extrême-Orient jusqu'au Moyen-Orient.

Les concubines se placent sur un tout autre registre que celui des épouses.

Il est pourtant surprenant d'apprendre que les familles nobles considéraient comme un privilège de voir l'une de leurs filles intégrer le harem d'un puissant personnage tel un vizir. On peut assimiler cette pratique à une forme de prostitution exclusive puisque chaque "visite" était récompensée de gratifications. Ce qui ne diffère guère de la pratique des courtisanes dans les cours royales d'Occident.

Une matrone, ancienne concubine avait la charge de gérer le gynécée. C'est elle qui tient le planning de la disponibilité sexuelle des concubines, notamment en jugeant des périodes d'infécondité par rapport aux règles. Il faut savoir qu'en cas de grossesse qui n'avait pu être évitée ou interrompue, la concubine malchanceuse était renvoyée dans sa famille et son enfant bâtard n'était pas reconnu par l'auteur...

Tout un cérémonial présidait au choix de l'élue. Vers le milieu de l'après-midi, ces dames -du moins celles uis étaient "disponibles"- déambulaient dans le jardin, vêtues de leurs plus beaux atours, en espérant être choisie. Cela ressemblait quelque peu à un défilé de mode !

Le choix étant fait, l'élue était préparée pour la nuit (bain, massage, maquillage, coiffure, parfums et parures).

Le soir venu, elle était conduite dans les appartements du vizir, dans une salle réservée aux ébats. Elle l'y attendait jusqu'à ce qu'il la rejoigne après la cinquième prière, soit après 22 heures.
Elle devait y passer toute la nuit même si le vizir s'était éclipsé rapidement. Les eunuques assuraient une garde impitoyable dans tous les couloirs attenants afin d'interdire le passage à d'éventuels intrus et afin d'assurer une totale intimité, en plus des sas et double portes !

Les eunuques du harem

Dans de nombreuses cultures orientales (Japon, Chine, Inde, univers turc...) les eunuques étaient des hommes châtrés destinés à des fonctions diverses.
Chambellans car on les pensait plus honnêtes puisqu'ils n'avaient pas à favoriser une descendance. Prêtres de diverses religions s'assurant ainsi la chasteté.
Ce que l'on connaît le mieux, des eunuques, c'est leur rôle de gardiens des femmes des harems. Mais comme l'islam interdit l'émasculation aux musulmans, leurs eunuques appartenaient à des populations étrangères.

Ceux
qui étaient chargés de la garde du harem du vizir de Marrakech étaient des Noirs. Castrés vers l'age de deux ans, ils commençaient leur service aux environs de l'âge de 11 ans.

Deux éléments pour coquette marocaine

le khôl, c'est une fine poudre minérale de sulfure d'antimoine, de couleur foncée qui, au-delà d'un but esthétique pour le maquillage des yeux, aurait pour effet de protéger l'oeil de l'ardeur du soleil.

le henné, c'est une poudre végétale tirée d'un arbre épineux et qui sert au maquillage des mains, des pieds et du visage. Il sert à dessiner une véritable dentelle de motifs compliqués à thème floral. Dans ses origines lointaines, on lui prêtait des vertus magiques, puis c'est devenu un moyen de signifier une appartenance tribale et c'est désormais un élément de coquetterie.


Un trajet d'environ 200 kilomètres vers l'ouest en direction de Marrakech via Aguelmous- Ighrem Nougdal avec le col de Tizin'Tichka ("des pâturages") à 2260 m d'altitude, le plus haut col du pays. Près de là, Telouèt où naquit et mourut Thami el-Glaoui, pacha de Marrakech.

D'abord un fort puis des studios de cinéma, nous sommes encore proches de Ouarzazate. Kasba en ruine et reliefs tabulaires. Peu à peu le paysage se fait plus montagnard car la route longe un oued affluent du Dadès. Les pentes deviennent plus accentuées. Maisons de pierre pourvues de toiture, climat de montagne oblige. Contraste des couleurs minérales des montagnes et des verdoyantes cultures de fond de vallée.

Enfin, lacets qui serpentent à l'assaut du col.

Petite bouffée d'air frais et c'est parti pour la descente sur l'autre versant. Petits villages, cultures, tapis berbères, vendeurs de tajines (il s'agit d'une route très touristique) et des roches aussi colorées que sur l'autre versant...

Col de Tizi-n Tichka  Col de Tizi-n Tichka
  Col de Tizi-n Tichka
Col de Tizi-n Tichka


Puis c'est l'approche de Marrakech. Les gens sont plus nombreux et nous longeons l'enceinte du Palais Royal...

Palais Royal de Marrakech
Palais Royal de Marrakech


Nous voici revenus à notre point de départ, pour compléter la visite des jardins faite lors de notre arrivée, par celle de la ville et de ses monuments.

MARRAKECH (900 000 habitants), "la perle du Sud",
capitale des Saadiens, après avoir été celles des Almohades et des Almoravides:

Marruecos, ville du centre du pays fondée par les Almoravides au XIIe siècle (1062 ou 1070 ?) bénéficie d'un patrimoine culturel et architectural impressionnant, ce qui justifie sa position de capitale touristique du Maroc, après avoir été la capitale de trois dynasties (interruption à l'époque des Mérinides qui lui préfèrent Fès, Fès et Marrakech, éternelles rivales qui se sont disputées la place de capitale pendant près de 900 ans) .
Son nom a même donné celui de tout le pays.

C'est une ville fascinante par ses groupes ethniques divers, par l'architecture, ses couleurs et ses odeurs.

Marrakech, "la perle rouge du Maroc", est considérée comme l'une des plus belles villes du monde, inserée au débouché de l'Atlas et au cœur de la plaine du Haouz, ce qui lui permet d'être coiffée de palmeraies de plantations d'oliviers et d'orangers. La palmeraie de Marrakech était l'une des plus belles au monde avec l'arrière-plan dessiné par les cimes du Haut Atlas dont les sommets ne sont qu'à une dizaine de kilomètres mais qui restent cachés dans la brume de chaleur de l'été. Mais aujourd'hui sa palmeraie meurt (parasitée par le champignon bayoud qui s'attaque aux racines), abandonnée et peu à peu phagocytée par de gigantesques opérations immobilières...
La montagne semble suspendue, irréelle, entre terre et ciel. Le Jbel Toubkal (4167 m) entre Marrakech et Ouarzazate, le sommet du pays, reste la destination préférée des randonneurs.

La fin de matinée est consacrée à des visites dans les quartiers sud, non loin du Palais Royal et du Palais El Bali (vestiges de hammam, galeries souterraines, esplanade plantée d'orangers) que nous ne visitons pas.

Les Alaouites, successeurs des Saâdiens, notamment Moulay Ismaïl (XVI-XVIIe s.), grand constructeur comme on l'a vu à Meknès, mais aussi grand destructeur de monuments, respecta exceptionnellement les tombeaux des rois de la dynastie précédente. Toutefois, il les emmura en les dissimulant dans l'architecture de la mosquée de la Kasba (XIIe s.) dite aussi mosquée aux Pommes d'Or, de telle sorte qu'ils ne furent découverts qu'en 1917! C'est pourquoi, on n'a qu'un étroit couloir pour y accéder.

La medina est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1985 .

Les Tombeaux Saâdiens** sont deux splendides mausolées du 16ème siècle. On arrive dans le jardin des roses (évocation du paradis) également planté de bigaradiers (oranger à fleurs très parfumées mais aux fruits amers).


Il faut admirer "la salle des douze colonnes", chef d'oeuvre de l'art hispano-mauresque) où se trouve le tombeau du plus célèbre des Saâdiens, Ahmed el Mansour ("le victorieux") qui vécut au XVIe s. Imposantes colonnes de marbre blanc mais finesse du décor
de stucs dont les évidements sont orientés de 45° vers le bas afin que l'on en perçoive bien la profondeur.

L'emplacement des tombeaux est marqué par des zelliges et, pour les personnages plus importants, par un relief en demi-colonne de marbre couchée. Les tombeaux disséminés dans les jardins sont ceux de serviteurs.

La plupart des inhumations sont orientées nord-sud car le défunt est couché sur le coté droit, la tête tournée à gauche vers La Mecque (autrement dit l'est) mais quelques unes leur sont perpendiculaires. Cette bizarrerie n'est qu'apparente car le corps peut aussi être couché sur le dos avec la tête à l'est.

Quelques regards sur la vie dans les rues environnantes: commerces en tous genres, magnifiques portes de maisons particulières et toujours "la Vache qui Rit" omniprésente dans ce pays!



La visite suivante, le Palais de La Bahia ("Palais de la Belle") **, est celle qui m'a le plus enthousiasmé, pour ce qui concerne les monuments de Marrakerch.
La construction de cette demeure immense
du XIXe s.fut entreprise, non loin du palais royal, à partir de 1880 par le grand vizir du sultan (titre donné aux ministres, hauts dignitaires de l'État, qui secondaient le sultan) Sidi Moussa en hommage à la plus belle favorite parmi ses vingt-quatre concubines officielles et achevée. Son oeuvre fut achevée par son fils. Par rapport à son maître, le sultan, la position ambiguë de ce grand vizir qui a de grands pouvoirs en matière de finances, n'est pas sans rappeler celle d'un Nicolas Fouquet, surintendant des Finances, devenu le véritable banquier de notre Roi Soleil, de 1653 jusqu'à sa disgrâce en 1661...
Le riche vizir put acquérir peu à peu des propriétés voisines pour agrandir sa demeure de nouveaux appartements, de patios et cours. Le tout couvre 8ha et représente 150 pièces (160 chambres?). Faisant appel aux meilleurs artisans, il nous a offert un véritable éblouissement. A tel point que ses décors de zelliges et stucs le font surnommer l'Alhambra.
Au temps du Protectorat, le palais servit de demeure au Résident Général. L'étage n'est pas ouvert à la visite.

On peut y admirer...
La cour d'honneur entourée de galeries aux colonnes de bois peint.
La
salle de réception du grand vizir.
La salle du conseil décorée de faïences de Tétouan et coiffée d'un superbe plafond en bois de cèdre enluminé.
Le grand riad andalou (salle de prière, d'ablution).
Les appartements de la favorite et des trois autres épouses légitimes
Le harem des 24 concubines
Les patios et magnifiques jardins arborés, plantés d'arbres fruitiers et de jasmin, réservés jadis aux femmes du palais.

Les épouses disposaient chacune d'une grande salle qui était divisée en trois partie (chambre, salon de réception et boudoir où se trouvaient les bijoux et la garde-robe). Un accès privé aux appartements des dames était aménagé afin que le vizir puisse leur rendre visite incognito nuitamment ... lorsqu'il n'avait pas jeté son dévolu sur une concubine.

 

L'après-midi, visite historique de la ville, ancienne ville impériale à l'architecture magnifique et aux souks dits enchanteurs, selon les guides, mais qui sont surtout des souks à touristes qui noient les souks des teinturiers et chouaris (paniers, vannerie) et qui , selon moi, n'ont rien de l'authenticité des souks de Fès et l'Ali Baba que je suis aux yeux des marchands n'apprécie guère...

Regard rapide au minaret de la Koutoubia, nous y reviendrons et en reparlerons. Traversée de la fameuse place
Jemaa-el-Fna peu fréquentée à cette heure de début d'après-midi. Porteurs d'eau et conducteurs de calèches se disputent les rares clients.

Nous traversons les souks de la médina, de peu d'intérêt comme je l'ai déjà dit, pour atteindre la
Médersa Ben Youssef** ("fils de Joseph"), au coeur de la médina.
Elle fut construite au XVIe s., par le sultan saâdien Moulay Abdellah, c'était la plus importante école coranique du Maghreb. Dans un tout autre registre, moins austère,
la Medersa Ben Youssef, elle servit de décor à des scènes au film "Angélique et le Sultan ".
Nous commençons la visite par la cour des ablution dont le bassin reflète le bâtiment où se trouve la salle de prière tandis que sur les côtés, s'ouvrent à l'étage les étroites fenêtres des chambres des étudiants, car il faut plus définir par ce terme les jeunes pensionnaires des médersas que par celui d'élève en théologie islamique dans la mesure où le champ des connaissances qui y était enseigné était bien plus large que cela (astronomie, mathématiques...).
La visite de la partie résidentielle, "la Cité U" de l'époque, révèle à la fois l'austérité des lieux . Les chambres ont l'allure de cellule monacale, organisées en duplex mais un certain agrément résulte des décors simples des coursives, des puits de lumière et des vues sur la cour centrale.

 

Médersa Ben Youssef de Marrakech  Médersa Ben Youssef de Marrakech  Médersa Ben Youssef de Marrakech
Marrakech - médersa Ben Youssef
(VIe s.)


 

Retour place Jemaa-el-Fna où Djamel nous laisse l'après-midi libre. Nous ne le reverrons que le lendemain soir pour la soirée fantasia qui doit être le point final de notre circuit.

Pour passer le temps, en attendant que la place s'anime, et sur la proposition de Jacques, après une nouvelle traversée des souks voisins de la place, nous nous dirigeons laborieusement vers le souk des tanneurs. Pour la partie finale, on se guide à l'odeur. Ce souk n'a rien de typique par rapport à celui de Fès. Ici, il y a plusieurs établissements, mais aujourd'hui c'est vendredi et il n'y a donc quasiment pas d'ouvriers. Ceux qui travaillent dans les bains le font, ici, en cuissardes.

VOIR

Pour le début de soirée, revenus sur
la place Jemaa-el-Fna, il reste à choisir une terrasse en étage de l'un des trois ou quatre cafés qui en disposent autour de cette place où se réunissent les touristes et ceux qui en vivent et qui fut autrefois "la réunion des ...trépassés!".
Avec Nadia, mon choix se porte sur celle du Glacier.
Ainsi nous sommes à l'écart des quémandeurs en tous genres et nous disposons d'une vue étendue.
De là, nous pouvons voir la place s'animer progressivement. Aux
conteurs, porteurs d'eau, charmeurs de serpents viennent s'ajouter danseurs, jongleurs et acrobates et surtout les restaurants à l'air libre que l'on installe pour le temps de la soirée.
Retour pédestre un peu laborieux lorsque la nuit fut complètement venue...


Après une bonne nuit, dernière journée à Marrakech où nous avons quartier libre jusqu'à la soirée fantasia.

Nous en profitons donc pour retourner dans le centre ville, à pied. Il faut de la persévérance pour repousser les offres des taxis et calèches qui rôdent en quête de touristes. Plus d'une heure de marche depuis le quartier de la Ménara, avec un détour à la porte Bab Agnaou qui avait été zappée. Vue sur les remparts (trop?) bien restaurés. Les travaux de restauration du prestigieux hôtel de La Mamounia (cet hôtel de grand luxe doit réouvrir à la clientèle à la fin de 2009) allongent quelque peu le trajet en nous obligeant à contourner les palissades qui ceignent son parc transformé en chantier.

La porte Bab Agnaou ("bélier sans corne") du XIIe s. date donc de la même époque que la Koutoubia. Son originalité par rapport aux portes de villes que l'on a pu voir au cours de ce circuit tient à l'utilisation de décors en pierre, un grès gris-bleu travaillé en magnifique décor floral et non pas de céramiques.

Porte Bab Agnaou de Marrakech  Porte Bab Agnaou de Marrakech
Marrakech -
Porte Bab Agnaou (XIIe s.)

 

En remontant vers la place Jemaa-el-Fna, nous rencontrons pour la énième fois un défilé électoral et une fois de plus, il s'agit du parti à la rose. Curieuse coïncidence ! (malgré un tel déploiement d'efforts, ce parti sera loin de faire un tabac aux élections qui auront lieu la semaine prochaine).

Le monument le plus célèbre de Marrakech, construit par les Almohades, est peut-être le minaret de la Koutoubia qui accompagnait la mosquée du même nom (qui signifie "des libraires"). Il date du
12e siècle et servit de modèle pour la tour Hassan de Rabat et la Giralda de Séville. Sa majestueuse silhouette de 69 m de haut (dont le lanternon qui mesure 16 m) domine les maisons rouges. Le tout est surmonté par une hampe de 8 m. qui embroche 4 boules de cuivre doré. Ce minaret à section carrée de près de 13m. de côté comporte un noyau abritant six salles superposées autour desquelles s'enroule une longue rampe que pouvaient emprunter des équidés. Le même dispositif existe dans ses contemporaines de Rabat et de Séville.


La mosquée dont elle était le signal fut détruite très vite après la construction car les théologiens considéraient que son orientation était défectueuse par rapport à La Mecque comme en témoignent les vestiges de piliers. Une nouvelle et vaste mosquée (90 mx60 m pour 16 nefs) fut construite en conservant le minaret aux décors à entrelacs en relief, les bandeaux de céramique turquoise et blanche...

Pour terminer la matinée, un petit tour dans la médina, en s'échappant le plus vite possible des souks pour gagner des ruelles parfaitement tranquilles à quelques pas de là et où les habitants étonnés nous croient égarés...

 

Koutoubia de Marrakech  Koutoubia de Marrakech  Koutobia de Marrakech
Marrakech - la Koutoubia (XIIe s.)

Retour à l'hôtel en calèche...

 

La nuit venue, ramassage en autocar par le tour operator de ses touristes dispersés dans divers hôtels afin de se rendre à la soirée dîner-fantasia en dehors de la ville. Bien d'autres autocars sont déjà arrivés. Nous ne serons donc rien qu'entre touristes...

VOIR

On nous a "vendu" la soirée dîner-fantasia en vantant son menu aux nombreux plats traditionnels (méchoui...), son accueil personnalisé d'hommes et de femmes en costumes traditionnels de leurs tribus, ses troupes folkloriques de musiciens et de danseuses, ses cavaliers acrobates... De là à ajouter ... un show digne des milles et une nuit, il y a plus qu'un pas... que je ne franchirai pas!

Accueil par les musiciens et des groupes costumés. Nous sommes installés pour le dîner dans des sortes de grandes tentes bâchées qui bordent l'espace d'évolution pour la fantasia qui doit clôre la soirée. Pendant le service de plusieurs plats traditionnels les musiciens et les danseuses se déplacent entre les rangées de tables.
Enfin, c'est le moment de la brève fantasia où l'on est quelque peu gêné par les projecteurs qui nous font face.

 

 

Retour à l'hôtel pour une dernière nuit. Adieux aux compagnons de route...
Nous laissons le Maroc à son actualité mouvementée de septembre: élections législatives, puis rentrée scolaire et enfin, le ramadan!

Départ matinal pour l'aéroport...



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