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A CANCUN, avant le retour, deux demi-journées de farniente au Continental Plaza, un grand hôtel (500-600 chambres), parmi les dizaines qui
s’échelonnent pendant 20 km sur un cordon littoral dunaire (400 m. de large) séparant des lagunes du Golfe du Mexique proprement dit, avec ses plage au sable
blanc d’une finesse incroyable.
Formule tout compris: plage, piscines, bars et restaurants à gogo... des étudiants américains en goguette (en vacances
avant leur dernier trimestre) en profitent et on les retrouvera en piteux état dans l'avion du retour (escale à Houston).
C'est la fin de la fameuse semaine de relâche, la semaine de vacances de mars des étudiants nord-américains, la Spring Break dont les jeunes Européens commencent à s'inspirer...
Ici, on ne trouve donc que des touristes, dans la pire acception du terme, regroupés dans un véritable ghetto...
Le regard porté vers la mer est comblé par un nuancier de couleurs infinies et profondes allant du bleu au vert
sombres, avec au milieu un méli-mélo de nuances pastels. Ce paysage fait songer aux toiles d'un Turner ou à celles, originales, de mes
amis, Josée et Raymond, peintres intérioristes que je ne vais pas tarder à retrouver à leur atelier, loin d'ici.
MEXIQUE